Bonjour tout le monde
j'espères que vous protiez bien des beaux rayons de soleil que nous avons, même si la chaleur n est pas vraiment la mais nous ne sommes encore qu'en Avril donc pas de panique je suis sur que se bon vieux soleil va se mettre a carburer pour nous rechauffer
Hier j'ai profité de ce beau soleil pour aller visiter
L’Abbaye de Graville .
Me voici donc parti, a pieds( suis devenu courageuse je vous fais remarquer) en direction de L'Abbaye .
Me suis mise du coté de la rue ou le soleil brillé de milles feus (hum hum) pour avoir plus chaud.
Et la je découvre une cote de l enfer a monter a pieds (mes mollets sont pas contents du tout) mais je tiens bon je monte je monte, et la je suis perdu je sais plus ou je dois passé. Alors comme disait mon papa "Tout les chemins mène a Rome" j ai donc avancer ne sachant pas ou j allais me retrouver, mais miracle de la verdure, des oiseaux qui chantent, je suis arrivé au paradis.
J'ai donc parcouru gentillement ce beau parc , les rayons du soleil passés joyeusement a travers les arbres, le calme en plein dans la ville, on entends a peine les bruits de la ville. Et j arrives enfin a destination
L’Abbaye de Graville.
découvrons les lieux (j 'ai pris les explications du lieux sur le site du
Havre car j'avoue qu'il y a des petits détails que je ne savais pas :
L'entrée se fait par un petit chemin de pierre qui fait oublier que nous sommes en pleine ville
Dominant la ville, y est érigée une monumentale statue de la vierge à
l’enfant, appelée « vierge noire » parce qu’elle remplace une autre
vierge fondue dans un alliage moins noble devenu noir par corrosion. Ce
sont les mères des soldats français qui ont permis sa réalisation en
remerciement d’avoir épargné la ville pendant l’invasion Prussienne de
1870.
L’Abbaye de Graville.
L'Abbaye de Graville, située à flanc de coteau sur une falaise
aujourd’hui morte, domine l’embouchure de la Seine jusqu’à la mer. Elle
est constituée d’une église avec une nef romane et un choeur gothique,
et de bâtiments conventuels dont le réfectoire et le cloître ont
aujourd'hui disparu.Un cimetière romantique l’entoure, remarquable par quelques sépultures
de savants et négociants havrais, ou des stèles de sépultures d’enfants
portant des vers de Victor Hugo. Au Sud, des jardins en terrasse
épousent les dénivelés.
L'Abbaye de Graville est constituée de l'église Sainte-Honorine entourée de ses bâtiments conventuels. Les édifices du XIe au XVIIIe
siècles abritent depuis 1926 un musée qui comprend des éléments
lapidaires, une statuaire religieuse et une collection de maquettes de
la fin du XIXe et début XXe siècle.
La visite de l'abbaye elle même et de l'église est payante, mais bon j'adore ces lieux magique qui sont chargés d'histoires.
A l’intérieur on y découvre d'ancienne statuer, dont certaines sont en bois, mais aussi de vieilles meubles ou coffres qui sont de toutes beauté
La salle des reliquaires et objets religieux ( j ai voulu faire des photos de objets eux même mais bon avec la vitre cela n as pas était génial)
Il y a aussi des reproduction de lieux ou maison normande
Les salles basses sont une des grandes curiosités du Musée de
l'Abbaye de Graville. Deux d’entre elles sont en ce moment accessibles,
la troisième, la plus remarquable, n’est visible qu’au travers d’une
grille.
Le mode de construction du mur Nord de cette grande salle
basse laisse penser qu’il est plus ancien que celui qui la limite au
Sud. Son épaisseur est considérable, plus de deux mètres, et un escalier
s’y trouve logé. Ce mur servait sans doute de soutènement au flanc du
coteau et, associé à l’escalier, permettait l’utilisation de jardins en
terrasses.
Cette grande salle basse, datant des premières années du
XIIIe siècle, voire de la fin du XIIe siècle, est vraisemblablement
construite au moment où Guillaume II Malet, fait appel aux moines de
Sainte-Barbe en Auge pour donner un nouvel essor à l'abbaye. Il le dote
alors avec largesse pour que des bâtiments prieuraux plus fonctionnels
soient construits. Utilisé comme cellier, cet espace pouvait bénéficier
de l’escalier qui menait sur la terrasse actuelle dans sa partie Sud, là
où se trouvait le bâtiment du réfectoire emporté par l’incendie qui a
ravagé le prieuré en 1787.
La voûte en berceau brisé, montre que l’on
quitte l’art roman, mais le côté très utilitaire de cette pièce
n’impose pas une esthétique gothique plus recherchée comme pour la salle
capitulaire ou le chœur de l’église. Cinq doubleaux en bandeaux
retombant sur des corbeaux non sculptés suffisent à l’ensemble. Cette
simplicité architecturale dans une salle aux dimensions importantes est
très remarquée des visiteurs. A droite, un puits de vingt mètres de
profondeur, et de un mètre soixante de diamètre a été taillé dans le
roc.
Le couvrement de la petite salle basse est plus élaboré avec
deux travées de voûtes sur croisées d’ogives séparées par un doubleau,
elle est éclairée par une large fenêtre, et son utilisation, si elle
n’est pas connue, peut-être celle d’un chauffoir ou d’un scriptorium.
Le cloitre
L'abbatiale
L’église de l'abbaye appartient au groupe des églises romanes normandes à
deux étages. La façade, initialement à deux tours, a été très modifiée
par rapport à son plan d’origine. Pendant la guerre de cent ans, la tour
Nord a été partiellement détruite pour éviter qu’elle ne serve de site
d’observation aux Anglais, quant à la tour Sud, elle a totalement
disparu pendant les guerres de religion. Le grand portail Ouest a été
édifié en retrait.
Construite en pierre de Caen, l’église est bâtie
selon les règles de la construction romane : ouverture en plein cintre,
hauteur limitée des murs. On y observe plusieurs pierres sculptées,
placées de manière aléatoire, un escalier et une porte aménagés dans ce
qui était à l'origine de simples fenêtres. Elle n’est pas sans rappeler
certaines églises de Basse-Normandie, en particulier celle de Thaon dont
les éléments sculptés sont similaires à ceux inclus dans le mur
extérieur du transept Nord. La nef, à unique vaisseau central à six
travées bordé de bas côtés est, sans conteste, l’élément le plus
remarquable. Son élévation est caractéristique du XIe siècle avec deux
niveaux de fenêtres. Les piles fortes et les piles faibles, ornées de
chapiteaux sculptés, véritable catéchisme, se succèdent en alternance.
Le transept, également du XIe siècle, présente un système d’arcatures
entrecroisées. A la croisée, bordée d’arcs outrepassés à décors
géométriques spécifiques de l’art roman normand, s’élève une ancienne
tour lanterne, aujourd’hui beffroi. Elle comporte des baies gémellées
sur deux niveaux.
Le chœur gothique, à trois vaisseaux et deux
travées, date du XIIIe siècle, son chevet est droit. Repris au XIXe
siècle puis au XXe siècle, il abrite un sarcophage de la fin de l’époque
antique, connu pour être celui de Sainte-Honorine. L'extérieur comporte
deux séries de six arcs brisés, provenant de l'entrecroisement de cinq
arcs en plein cintre que l'on retrouve sur les murs pignons et
gouttereaux des deux transepts, ainsi qu'une série de modillons sculptés
de grotesques que l'on retrouve au-dessus des fenêtres de la nef.
Jusqu'à la Révolution, il y avait deux églises en une : dans le chœur,
l'église de l'abbaye séparée par une grille et dans le transept l'église
paroissiale. Au XVIIe siècle, un retable est dressé dans le chœur. Au
XIXe siècle, l'église et plus spécialement la croisée du transept sont
restaurées dans l'esprit de Viollet-le-Duc par l’architecte Charles
Louis Fortuné Brunet-Débines, le chœur est alors meublé d'un autel
néo-gothique. Classée monument historique en 1850, l'église, et
particulièrement son chevet, est gravement endommagée en 1944. Après
restauration, la nef et le transept sont rouverts en 1982, puis le chœur
quelques années plus tard. En 1996, c'est le retable polychrome du
XVIIe siècle qui est restauré et remonté.
Les premiers bâtiments
conventuels attestés sont construits à la fin du XIIe et au début du
XIIIe siècle par Guillaume Mallet de Graville, descendant de Guillaume
Mallet, compagnon de Guillaume le Conquérant. Ces bâtiments ont été en
partie démolis. Des traces subsistent dans la salle capitulaire.
Les
constructions en sous-sol datent du XIIe et XIIIe siècle. Parmi les
trois salles, celle située à l’Est a été entièrement remaniée au XXe
siècle, la plus grande à l’ouest, servait de cellier. Ce premier niveau
en sous-sol est relié au rez-de-chaussée par un escalier en vis-à-vis
gothique logé dans les contreforts de la face Sud. Il débouche dans un
espace qui devait être à l'origine le chauffoir des religieux. Ce niveau
comportait alors, outre la salle capitulaire et une aile Est, un
réfectoire et un cloître. La salle capitulaire a été rétablie dans ses
proportions originelles avec la fenêtre en ogive donnant sur le cloître
et le mur Nord de la salle. Le parement de cette dernière est revêtu
d'une arcature en arcs tréflés et de colonnettes, caractéristique de
l'architecture normande du XIIIe siècle. Cette salle était à l'origine
couverte par une voûte dont on aperçoit encore la trace. L'étage était
occupé par le dortoir des religieux dont les murs étaient alors percés
de baies en lancettes. Sur la terrasse s’élevait un cloître à double
rangée de colonnes comme nous pouvons encore en voir de similaires au
Mont-Saint-Michel ou à l’abbaye de Saint-Wandrille.
Les bâtiments
conventuels ont été reconstruits au XVIIIe siècle pour être à nouveau
partiellement détruits, en 1787, par un incendie. Subsistent aujourd’hui
de cette période, la salle capitulaire, le chauffoir, le scriptorium et
le niveau des cellules et greniers. Seule une partie des bâtiments
conventuels est accessible à la visite.
La partie romane
La partie gothique
Me voila ma balade se fini par un chemin de pierre sous les ombrages des branches
Et je suis rentré chez moi épuisé, surtout que je me suis aperçu que je pouvais accéder a l'Abbaye sans cette fameuse cote mdr
J'espère que la visite vous a plus et que vous avez passé un bon moment en ma compagnie